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La phrase du jour : "Si nous voulons protéger l'autonomie personnelle et la liberté de pensée, nous devons exercer un certain degré de contrôle sur les informations contenues dans nos cerveaux."

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If we want to protect personal autonomy and freedom of thought we should exercice some degree of control over the information located inside our brains” (1) : la phrase du jour est de Marcelo Ienca, Technical University of Munich. La prolifération de données issues du fonctionnement cérébral, associée au pouvoir d’interprétation de celles-ci par des intelligences artificielles, induisent un risque accru d’une part d’atteintes à la privacy, d’autre part de manipulation des individus, estime Marcelo Ienca. L’auteur insiste sur le problème des “inférences”, c’est à dire les possibilités de déduire, de prédire, ou encore d’effectuer des reconstructions sémantiques, à partir de ces données cérébrales.

Pour cette réflexion sur la collecte et l’utilisation des données cérébrales rendues possibles par les nouvelles technologies, la définition des interfaces neuronales retenue par l’auteur est issue des travaux de la Royal Society : “devices that are placed on the outside or inside of the brain or other components of the central nervous system […] to record or stimulate activity — or both“.  Les fonctions des interfaces neuronales, aujourd’hui rendues possibles par l’IA,  sont regroupées par M. Ienca en trois grandes catégories : 

 

1 – Traduction Deep L

2 – Marcello Ienca. Mind your privacy : navigating the neurodata dilemma. 15 mars 2024. Séminaire en ligne, John Hopkins Institute for assured autonomy, Berman Institute of bioethics.

https://www.youtube.com/watch?v=LM34vjtko7k

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